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Endocrinologie

Usage des glucocorticoïdes synthétiques : effets secondaires...
Dominique Maiter Mars 2017

De multiples facteurs peuvent rendre compte de la toxicité chronique plus ou moins importante des glucocorticoïdes (GC) de synthèse, qui sont très (trop) largement utilisés en pratique clinique. La puissance relative du GC utilisé, la dose quotidienne administrée et la durée du traitement, la voie et le moment de l’administration, ainsi que des facteurs individuels tels que l’âge, des facteurs génétiques ou une co-morbidité importante comme une insuffisance rénale ou hépatique, déterminent le délai de survenue de complications potentiellement graves, incluant la suppression de l’axe corticotrope. Il faut aussi tenir compte de la prise de médicaments affectant le métabolisme et/ou l’action de ces glucocorticoïdes et capables de potentialiser ainsi leur toxicité. Le traitement proposé devra donc tenir compte de tous ces facteurs, de l’efficacité démontrée et souhaitée dans l’indication considérée, et préférer si possible des traitements de courte durée ou non systémiques. Le syndrome de Cushing iatrogène se caractérise par certaines complications particulières comme la cataracte sous-capsulaire postérieure, une hypertension intracrânienne bénigne, une nécrose aseptique des têtes fémorales ou humérales, des ruptures tendineuses, une pancréatite ou une crise psychotique. Une suppression de l’axe corticotrope peut être assumée si le traitement a comporté une dose quotidienne équivalente à 16 mg de méthylprednisolone ou plus pendant au moins 6 semaines et chez les patients qui ont développé un syndrome de Cushing clinique. Elle n’est jamais présente quand le traitement a duré moins de 3 semaines. Dans les autres cas, la fonction cortico-surrénalienne devra être évaluée par un dosage du cortisol matinal et, éventuellement, la réalisation d’un test de stimulation par ACTH (Synacthen®). Si les résultats confirment la suppression complète ou partielle de l’axe corticotrope, un traitement par hydrocortisone (20 mg/jour le matin) devra être administré jusqu’à la récupération d’une fonction cortico-surrénalienne suffisante.

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Endocrinologie

Les communications intercellulaires dans le syndrome de...
Hervé Lefebvre Mars 2017

Le syndrome de Cushing d’origine primitivement surrénalienne est lié à des hyperplasies nodulaires bilatérales ou des tumeurs corticosurrénaliennes unilatérales cortisolo-sécrétantes qui s’inscrivent dans le vaste champ des maladies rares endocriniennes.

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Endocrinologie

Pubarche prématurée : quand faut-il s’inquiéter ?
Véronique Beauloye Mars 2017

La survenue d’une pilosité pubienne précoce est souvent une source d’inquiétude, tant pour les familles que pour les médecins. Dans la majorité des cas, il ne s’agit que d’une variante de la normale ou prémature adrenarche. Cependant, cette situation peut être en rapport avec des pathologies potentiellement graves comme une hyperplasie congénitale des surrénales ou une tumeur surrénalienne ou gonadique qu’il convient de diagnostiquer et de prendre en charge.

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Endocrinologie

Dosage du cortisol plasmatique : utilité et pièges diagnostiques
Damien Gruson Mars 2017

Le dosage du cortisol est recommandé en cas de suspicion d’hyper- comme d’hypo-corticisme. Le dosage du cortisol est donc un outil majeur pour les cliniciens en particulier pour les endocrinologues. La précision et la spécificité des dosages de cortisol sont donc extrêmement importantes pour fiabiliser la décision médicale. La détermination des concentrations circulantes de cortisol peut aujourd’hui être réalisée par un grand nombre de méthodes différentes dont les performances sont très variables.

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In Memoriam

Professeur René Krémer - 1926-2017
Martin Buysschaert Février 2017

Cher Monsieur Krémer,

La première fois que j’ai eu le privilège de vous rencontrer en dehors de amphithéâtres,...

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Radiologie

La TDM à double énergie ou spectrale
Emmanuel Coche, Etienne Danse Février 2017

Le CT spectral IQON fabriqué par Philips Healthcare (Cleveland, OH) a été installé début mai 2016 dans notre service de radiologie. Nous effectuons en moyenne 40 patients par jour sur ce CT avec environ la moitié d'entre eux venant directement de la salle d'urgence. Après quelques mois d'utilisation, cette machine qui possède une couverture de 4 cm, un temps de rotation de 0,28 sec et une analyse des données spectrales "à la demande" apparaît particulièrement bien adaptée à l’imagerie des urgences. Cette nouvelle technologie va très probablement changer notre approche chez les patients chez qui le CT constitue bien souvent l'examen de première ligne. Le poste de travail spectral ISPP (intellispace portal) est conçu pour afficher les données spectrales très rapidement après l'acquisition des données CT. Le radiologue est capable de charger les images et d'analyser les données spectrales dans les 2-3 minutes suivant l’examen. Le but de cet article est de partager avec vous notre expérience préliminaire avec le CT IQON et de mettre en évidence les applications les plus utiles en situation d'urgence.

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Otologie

Année 2016, la révolution : le remboursement de l’implant d...
Monique Decat, Gersende Debie, Naima Deggouj, Anaïs Gregoire Février 2017

La prise en charge des patients malentendants a connu une grande avancée par le remboursement des implants d’oreille moyenne partiellement implantables. Les patients souffrant d’une perte d’audition neurosensorielle (c’est-à-dire liée à la destruction de l’oreille interne) ne pouvaient bénéficier que d’un appareillage auditif ou d’un implant cochléaire s’ils étaient entièrement sourds. Beaucoup de patients n’étaient pas satisfaits de leurs aides auditives. Les implants d’oreille moyenne partiellement ou même totalement implantables existaient mais ils étaient entièrement à la charge du patient (entre 10.000 et 18.000 euros environ).

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Oncologie

Espérance pour les patients atteints d’un cancer grâce à l...
Jean-François Baurain, Jean-Pascal Machiels, François Duhoux Février 2017

Les avancées en oncologie médicale sont encore nombreuses en 2016. Nous avons décidé de mettre en lumière quelques-unes de ces avancées. Tout d’abord, une nouvelle classe thérapeutique, les inhibiteurs CDK4/6 (palbociclib, ribociclib), suscite l’engouement. Lorsqu’ils sont associés à une hormonothérapie, la survie des patientes atteintes d’un cancer du sein métastatique exprimant des récepteurs aux œstrogènes est augmentée de plusieurs mois. Deuxièmement, les inhibiteurs PARP (niraparib) qui bloquent un des deux mécanismes de réparation de l’ADN, sont actifs chez toutes les patientes récidivant d’un cancer de l’ovaire ayant répondu à une chimiothérapie à base de sel de platine. Finalement, l’immunothérapie est devenue une thérapeutique essentielle pour le traitement des cancers et certaines courbes de survie suggèrent que probablement certains patients pourraient être guéris. L’ipilimumab, un anticorps anti CTLA-4, augmente la survie des mélanomes stade III opérés et à haut risque de rechute. La combinaison d’anticorps anti-PD1 et anti-CTLA-4 est plus efficace que les monothérapies dans le mélanome métastatique. Les anticorps anti-PD1 deviennent un standard dans le traitement du cancer tête et cou, du rein et du poumon. L’administration de ces anticorps est associée à une toxicité bien spécifique, une toxicité auto-immune qui peut être redoutable voire fatale si elle n’est pas reconnue et prise en charge rapidement. Tous ces traitements sont disponibles à l’Institut Roi Albert II.

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Neurochirurgie

Utilisation d’un greffon autologue tridimensionnel dérivant...
Edward Fomekong 1 MD ; Denis Dufrane 2 MD, PhD; Bruno Vande Berg 3 MD, PhD; Christian Raftopoulos 1 MD, PhD Février 2017

L’année 2016 a été marquée en neurochirurgie par la publication de nos résultats de l’application intervertébrale de greffes ostéodifférenciées à partir de cellules souches adipeuses reconstituées en structure tridimensionnelle. Trois patients souffrant de spondylodiscarthrose dégénérative ont bénéficié d’un abord minimal invasif transforaminal (MI-TLIF) pour la réalisation d’une fusion vertébrale intersomatique. Pour un d’entre eux, deux niveaux ont été opérés en même temps, portant le nombre total de niveaux opérés à quatre. Les trois patients ont eu un prélèvement de graisse abdominale par liposuccion pour une culture et transformation en cellules souches au laboratoire de banque des tissus. Après une ostéodifférenciation des cellules souches et reconstitution en matrice 3D, une implantation a été réalisée au cours de la chirurgie. Les patients ont ensuite bénéficié d’un suivi radiologique et clinique jusqu’à 12 mois en postopératoire. Au terme de la période d’observation, le score de la douleur VAS (visual analog score) s’est amélioré de 8,3 à 2 et le score d’ODI (Oswestry Disability Index) est passé de 47 à 31 %. Sur le plan radiologique, une fusion de grade 3 a été observée sur 2 des 4 niveaux opérés. Aucune complication n’a été déplorée. Au total, la greffe 3D reconstituée à partir de cellules souches mésenchymateuses constitue une alternative nouvelle et intéressante pour la fusion vertébrale et offre l’avantage d’être une source autologue sans les inconvénients des prélèvements de greffes autologues comme celles de la crête iliaque. Des études étendues sont encore nécessaires pour confirmer l’efficacité de cette nouvelle technologie.

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Chirurgie orthopédique et traumatologie

La prise en charge des hanches dysplasiques
Maïté Van Cauter, Louis Gossing, Jean-Emile Dubuc, Olivier Cornu Février 2017

La chirurgie de remplacement articulaire, quoiqu’elle ait laissé espérer offrir des résultats plus durables avec le développement des implants non cimentés et des couples de friction avec une usure plus faible, et ait vu ses indications s’accroître et s’étendre vers des patients plus jeunes, ne peut encore garantir au patient la longévité qui permettrait de n’avoir pas à considérer une reprise ultérieure. Le remplacement n’offre par ailleurs pas systématiquement le confort d’une articulation native. Le développement de techniques permettant de préserver l’articulation native et ralentir ou prévenir l’apparition de l’arthrose, revêt dès lors un intérêt tout particulier. La réalisation d’une ostéotomie péri-acétabulaire (PAO) dans la dysplasie de hanche rentre dans ce cadre, en permettant d’augmenter la couverture acétabulaire par une réorientation du cotyle. Le recours à une reconstruction préopératoire en trois dimensions et à une planification des ostéotomies et du mouvement de l’acétabulum permettent de prévoir les corrections. Le recours à des guides de coupe et à un scanner peropératoire permettent d’assurer le geste avec précision et d’en conserver le contrôle tout au long de la chirurgie. La PAO doit donc être considérée à l’heure actuelle comme le traitement de choix des dysplasies acétabulaires de l’adulte jeune, avant toute évolution arthrosique.

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Chirurgie oeso-gastrique

La gastrolyse coelioscopique dans le cancer de l’œsophage :...
Yannick Deswysen Février 2017

L’apport de la cœlioscopie en chirurgie digestive n’est plus à démontrer permettant une diminution de la douleur postopératoire, une reprise de l’autonomie plus rapide et de ce fait de diminuer la durée d’hospitalisation. L’oesophagectomie est une intervention lourde en terme de morbidité pouvant être améliorée par l’abord mini-invasif. Ces dernières années ont vu l’introduction de techniques hybrides où l’un des temps opératoires était réalisé par cœlioscopie ou par thoracoscopie, l’autre étant réalisé par voie ouverte.

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Cardiologie

Cardiologie: que retenir de 2016?
Christophe Scavée, Agnès Pasquet Février 2017

Cette année a vu l’apparition en Belgique de 2 nouvelles molécules dans le domaine de la rythmologie, le Praxbind© et le Brivaness©, leur utilisation sera présentée. En 2016, la Société Européenne de Cardiologie a publié de nouvelles recommandations concernant la prise en charge des dyslipidémies, de la fibrillation auriculaire, de l’insuffisance cardiaque et de la prévention cardiovasculaire. Cet article revoit brièvement les points essentiels.

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Néphrologie

Néphrologie - Que retenir de 2016 ?
Michel Jadoul, Selda Aydin, Sylvie Goletti, Johann Morelle, Eric Goffin, Michel Mourad, Nathalie Demoulin, Anh Ho, Nathalie Godefroid, Caroline Clerckx, Laurence Annet, Yves Pirson, Olivier Devuyst Février 2017

Le service de Néphrologie vous présente 3 innovations particulièrement marquantes de 2016. La première concerne la prise en charge de la polykystose rénale autosomique dominante, et notamment le tolvaptan, un médicament enregistré et remboursé, qui ralentit la progression de la maladie. Les 2 autres concernent d’une part les progrès dans le diagnostic des glomérulonéphrites extramembraneuses idiopathiques, en réalité souvent auto-immunes, et d’autre part l’espoir apporté par les programmes d’échanges de reins de donneurs vivants aux patients en attente de transplantation rénale.

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Néphrologie

Néphrologie - Que retenir de 2016 ?
Michel Jadoul, Selda Aydin, Sylvie Goletti, Johann Morelle, Eric Goffin, Michel Mourad, Nathalie Demoulin, Anh Ho, Nathalie Godefroid, Caroline Clerckx, Laurence Annet, Yves Pirson, Olivier Devuyst Février 2017

Le service de Néphrologie vous présente 3 innovations particulièrement marquantes de 2016. La première concerne la prise en charge de la polykystose rénale autosomique dominante, et notamment le tolvaptan, un médicament enregistré et remboursé, qui ralentit la progression de la maladie. Les 2 autres concernent d’une part les progrès dans le diagnostic des glomérulonéphrites extramembraneuses idiopathiques, en réalité souvent auto-immunes, et d’autre part l’espoir apporté par les programmes d’échanges de reins de donneurs vivants aux patients en attente de transplantation rénale.

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Médecine physique et réadaptation motrice

L’apport de nouvelles technologies dans la rééducation motrice...
Stéphanie Dehem, Gaëtan Stoquart, Vincenza Montedoro, Martin Edwards, Sophie Heins, Bruno Dehez, Thierry Lejeune Février 2017

Suite à une lésion cérébrale, les troubles moteurs et cognitifs sont fréquents et leur rééducation constitue un défi de longue haleine pour les patients et les thérapeutes. Ces dernières années, la robotique et les jeux sérieux se sont fortement développés dans ce domaine afin d’augmenter la récupération fonctionnelle des patients. La robotique permet d’intensifier la thérapie, d’assister le mouvement du patient et de lui fournir un feedback. Quant aux jeux sérieux, ils rendent la rééducation ludique et motivante et le niveau de difficulté du jeu s’adapte continuellement aux performances du patient. Ces deux technologies complémentaires sont donc prometteuses dans la rééducation des patients cérébro-lésés.

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Hématologie

Nouveautés dans la prise en charge du Myélome multiple en 2017
Marie-Christiane Vekemans Février 2017

L’introduction des nouvelles drogues –inhibiteurs du protéasome et agents immunomodulateurs- a considérablement modifié la prise en charge des patients atteints de myélome, et amélioré leur survie de manière significative. Cependant, le myélome reste une maladie incurable à l’heure actuelle, la plupart des patients présentant une rechute au cours de leur évolution et développant une résistance aux médicaments. Une meilleure compréhension des mécanismes biologiques à l’origine du myélome est à l’initiative du développement de nouvelles molécules comme les anticorps monoclonaux et les thérapies ciblées. Ceux-ci représentent un réel espoir de contrôler la maladie à long terme, et d’espérer à terme, chez certains d’entre eux, une guérison.

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Anatomie pathologique

Le Next Generation Sequencing (ou NGS) : un nouvel outil de...
Anne-France Dekairelle*, Delphine Hoton**, Julie Lelotte**, Christine Galant**, Pascal Van Eeckhout**, Pamela Baldin**, Yves Guiot**, Louis Libbrecht**, Anne Jouret Mourin** Février 2017

Au cours de ces dernières années, de nombreuses recherches ont abouti à la caractérisation de marqueurs moléculaires tumoraux en parallèle au développement de thérapies ciblées. Plus de 50% de celles-ci disposent d’un biomarqueur conditionnant leur prescription, rendant indispensable la réalisation de tests moléculaires. Les récents progrès technologiques nous permettent aujourd’hui l'analyse simultanée de gènes ou portions de gènes d’intérêt via le séquençage à haut débit (NGS). Depuis janvier 2016, le NGS est appliqué aux Cliniques universitaires Saint-Luc dans le cadre d’analyses en routine clinique qu’elles soient liées au diagnostic, au pronostic ou encore à la prédiction de la réponse thérapeutique.

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Endocrinologie, diabétologie et nutrition

Endocrinologie, diabétologie et nutrition : que retenir de 2016 ?
Martin Buysschaert, Chantal Daumerie, Michel Hermans, Vanessa Preumont, Jean-Paul Thissen, Bernard Vandeleene, Dominique Maiter, Stéphanie Rouhard, Laura Orioli, Raluca Maria Furnica, Audrey Loumaye, Maria-Cristina Burlacu, Orsalia Alexopoulou, Sonia Brichard Février 2017

À l’instar des années précédentes, l’année 2016 a été riche de nouveautés et d’innovations diagnostiques et thérapeutiques dans les domaines des pathologies endocriniennes, du diabète et des maladies métaboliques. Nous avons volontairement choisi de n’illustrer ici que celles qui, aujourd’hui déjà, ont modifié la prise en charge de ces pathologies, que ce soit par le médecin spécialiste ou le médecin généraliste. Tous les lecteurs devraient donc y trouver quelque intérêt. Ainsi dans le domaine du diabète, nous vous parlons de la nouvelle convention INAMI, d’un nouveau système remboursé de mesure en continu du taux de glucose interstitiel par capteur, des progrès technologiques impressionnants des nouvelles pompes à insuline ainsi que des bénéfices importants de l’utilisation des inhibiteurs des transporteurs SGLT-2 (les ‘glucorétiques’) en termes de complications cardiovasculaires et rénales chez le patient diabétique de type 2. Au plan des pathologies métaboliques, les inhibiteurs de la PCSK9 sont maintenant remboursés dans l’hypercholestérolémie familiale hétérozygote et certains analogues du GLP-1 sont disponibles pour un traitement efficace de l’obésité. Dans le domaine des pathologies thyroïdiennes, l’hypothyroxinémie maternelle isolée de la grossesse est aujourd’hui mieux caractérisée et de nouvelles recommandations ont été émises en 2016 concernant le diagnostic et le traitement de l’ophtalmopathie thyroïdienne. Enfin, concernant l’endocrinologie générale, de nouvelles recommandations clarifient et simplifient la prise en charge de l’incidentalome surrénalien dont la fréquence de découverte ne fait que croître, à l’ère d’une imagerie abdominale de plus en plus performante.

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