Le rôle de l’immunothérapie dans le cancer urothélial
PrécédentRésumé de l'article :
Les inhibiteurs des checkpoints immunitaires (ICIs) ont significativement amélioré le pronostic des patients atteints d’un carcinome urothélial. Différents ICIs sont actuellement disponibles en Belgique, tels que le pembrolizumab, l’atézolizumab, le nivolumab et l’avélumab. Ces agents ont premièrement été évalués dans le stade métastatique, après échec d’une première ligne de chimiothérapie à base de platine. De nouvelles stratégies ont cependant été développées afin d’améliorer le devenir de ces patients ; ceci inclut les associations de chimiothérapie plus immunothérapie, l’immunothérapie en monothérapie ou le concept de maintenance, c’est-à-dire l’instauration précoce d’un ICI après une chimiothérapie sans attendre la progression de la maladie. Des études cliniques sont également en cours afin de définir la place de l’immunothérapie en péri-opératoire.
Cette revue résume les avancées de l’immunothérapie dans le carcinome urothélial.
Que savons-nous à ce propos ?
Les inhibiteurs de checkpoints immunitaires ont amélioré significativement le pronostic des patients atteints de cancer urothélial avancé.
Que nous apporte cet article ?
Cet article passe en revue les nouvelles stratégies développées dans le carcinome urothélial, telles que les associations de chimiothérapie et d’immunothérapie ou le concept de maintenance.
Mots-clés
Carcinome urothélial, immunothérapie, PD-L1, chimiothérapie
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